La cigarette électronique a besoin d’une résistance pour fonctionner.
Les résistances les plus répandues sont les pré-faites que l’on achète et installe directement sur un clearomiseur ou pod.
Mais les vapoteurs plus expérimentés passent parfois au reconstructible, et fabrique eux même cette résistance : le coil.
Qu’est qu’un coil ?
Le mot anglais coil signifie « bobine » en français. Un coil, dans le
monde de la vape désigne simplement la résistance qui permet de transformer l’e-liquide en vapeur.
Le coil est donc présent dans un
clearomiseur, un
pod, un
atomiseur, un
dripper…
Mais, pour les érudits de la vape francophone, le coil exclus les résistances toutes faites.
Le coil est le mot utilisé pour définir les résistances reconstructibles, c’est-à-dire, les fils résistifs à monter soi-même réservés aux atomiseurs (RTA), dripper (RDA) et RDTA.
Le
coil est très apprécié des vapoteurs expérimentés, par le large choix de coils, le coût, le plaisir, la saveur…
On peut soit les faire soi-même, soit les acheter déjà faits.
Petites infos supplémentaires sur les coils :
Le montage peut être en « simple coil » un seul coil ou « double ou dual coil », deux coils. Certains vapoteurs s’amusent à mettre plus de coil ou encore à faire du « porncoil », en gros des montages très exotiques, très travaillés combinant plusieurs fils résistifs.
Il existe aussi des coils « Mesh », un format différent, une plaque métallique avec une grande surface de chauffe, très réactive.
Le fil d’un coil peut être composé de plusieurs brins de matières différentes, de diamètres différents et entouré de manière variée.
Pour ma part, on retrouve une plus grande réactivité et de meilleures saveurs, contrairement au résistances pré-faites (clearomiseur).
Même si de nos jours, nous avons des résistances pré-faites quasi équivalentes aux coils.
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